Hier, dans le cadre de la 20e édition du Salon du livre de Toronto, j’ai eu le très grand honneur de recevoir le Prix jeunesse de l’Alliance française de Toronto pour mon album Fatima et les voleurs de clémentines. J’ai souvent été finaliste pour divers prix littéraire, mais c’est la première fois que je suis lauréate. J’en suis vraiment émue! C’est aussi la première fois depuis la création du prix en 2008 qu’un album illustré remporte la palme. Je suis donc doublement émue!
Ce qui rend le Prix Jeunesse de l’Alliance française de Toronto spécial, c’est qu’il est décerné à un livre jeunesse d’un auteur franco-ontarien par un jury composé de jeunes lecteurs qui des écoles francophones de la grande région de Toronto. Cette année, ce sont des jeunes du Lycée Français et des écoles Étienne-Brûlé, Sainte-Famille et Jean-Vanier qui ont relevé le défi de lire et de choisir le livre gagnant. À vous tous, je dis un grand merci!
Évidemment, un album illustré, c’est le produit d’une belle équipe. J’aimerais remercier de tout mon coeur la très talentueuse illustratrice de Fatima et les voleurs de clémentines, Gabrielle Grimard. C’est Gabrielle qui a su insuffler la vie et mettre sur papier la petite Fatima qui flottait tout bonnement dans ma tête et dans mes mots. Grâce à elle, Fatima, son grand-père et ses amies les araignées sont encore plus beaux que dans ma tête!
Un grand merci aussi à Jennifer Tremblay, mon éditrice aux Éditions de la Bagnole d’être tombée en amour elle aussi avec Fatima et d’avoir fait de ce projet une réalité.
Merci aussi aux organisateurs du Prix jeunesse de l’Alliance Française de Toronto qui font rayonner la littérature jeunesse d’ici. Je l’apprécie énormément et je sais que c’est aussi grandement apprécié par tous les auteurs jeunesse de l’Ontario français!
Finalement, j’aimerais remercier mon conjoint et mes filles qui écoutent, sans se plaindre, les multiples versions de mes histoires AVANT qu’elles deviennent des livres et qui me disent presque toujours que c’est bon même quand on sait tous les quatre que ce ne l’est pas encore!